Joaquim Le Gall a découvert le kayak en septembre 2021, à l’âge de 14 ans. C’est grâce à des amis du collège, déjà membres du CCKQC, qu’il a eu envie de rejoindre le club. Attiré par les sports nautiques, il a immédiatement accroché avec le kayak, un sport qui lui correspondait parfaitement. Il y trouvait à la fois un moyen de se détendre et de s’évader, sans pression ni obligation de compétition.
Mais au-delà de la pratique sportive, le kayak lui a aussi permis de découvrir une autre facette de l’engagement : le bénévolat. Grâce aux événements organisés par le club, comme la descente de l’Odet ou le border cross du Stangala, il a pris goût à l’entraide et à l’organisation, des expériences qui enrichissent son parcours.
Ce qu’il aime par-dessus tout dans le kayak, c’est la possibilité d’explorer de nouveaux lieux de navigation. Passionné par la nature, il apprécie particulièrement les sensations uniques du kayak de rivière et du kayak de mer, deux disciplines qui permettent d’être au plus près des éléments.
Enfin, pour Joachim, le kayak ne se résume pas qu’à une activité individuelle : il y a découvert un véritable esprit de camaraderie qui rend chaque sortie encore plus agréable et joyeuse. Plus qu’un sport, c’est une aventure humaine qu’il vit pleinement.
Merci Joaquim pour ton investissement au sein du CCKQC, et de ta motivation, toujours avec le sourire!
PS : Pourquoi Joachim est-il surnommé El Torero?
un surnom qui en dit long sur les aventures épiques de Joachim. Ce n’est pas un simple kayakiste, non…
Tout a commencé lors d’une descente en rivière où, dans un moment d’inattention (ou de défi envers les lois de la physique), son kayak a décidé de poursuivre l’aventure sans lui. Propulsé vers la rive, Joachim s’est retrouvé face à un spectateur inattendu : un taureau, droit dans les yeux, comme dans une arène improvisée. Pas de cape rouge, pas d’épée, juste un gilet de sauvetage pour défendre son honneur. Heureusement, le combat n’a pas eu lieu, et Joachim a pu battre en retraite avant que la bête ne bouge.
Une autre fois, le destin – ou plutôt la rivière – l’a encore joué contre lui. Son kayak perdu, il a fini par accoster sur une rive habitée par… un troupeau de chèvres curieuses. Moins imposantes qu’un taureau, certes, mais tout aussi prêtes à le juger du regard. Elles l’observaient avec cette expression moqueuse propre aux caprins.
C’est ainsi qu’est né El Torero, celui qui ne combat pas seulement les courants, mais aussi les créatures inattendues que la nature met sur son chemin. Aujourd’hui, chaque nouvelle sortie en rivière est un suspense : Joaquim pagayera-t-il en paix, ou ajoutera-t-il un nouvel adversaire à son palmarès ?